Chose promise, chose due, quelques photos de vacances. Ceux qui suivent ce blog depuis longtemps ont peut-être remarqué que nous avons un certain penchant pour le monde hispanophone, que j’aime bien les auteurs latinos, et que nos vacances nous voient plus souvent partir plein sud-ouest que ver l’est ou le nord. C’est une question de goût, bien entendu, mais aussi familiale, toute la belle famille est argentine, et vit à Buenos Aires. Donc en juillet, direction l’Argentine.
Comme je vous aime tous, je vous épargnerai les photos des réunions de famille, et des différents restaurants et glaciers. Sachez juste qu’à Buenos Aires on marche pas mal, il y a de très beaux parcs, on peut rentrer dans un restaurant ou un bar à toute heure du jour ou de la nuit, et on se nourrit de viande grillée (excellente), de salades, et de glaces beaucoup de glaces, avec une prédilection pour celle, incontournable au « dulce de leche ».
Un petit clin d’œil quand même à ce personnage incontournable de la culture argentine, photo prise dans le vieux quartier de San Telmo.
Pour s’aérer la tête, et aller voir des bestioles, de grosses bestioles, on a mis cap au sud, à peu près 1300 km, direction la côté Atlantique et la Peninsula Valdes, superbe parc naturel de la province de Chubut, au nord de la Patagonie.
La Patagonie, c’est environ 2 fois la France, pour 4 millions d’habitants, autant dire qu’on n’y est pas trop serrés. Ce qui frappe d’emblée, c’est l’espace, le ciel bleu, et le vent. On peut se loger dans le parc, soit dans une des estancias ouvertes au tourisme (mais c’est très très cher), soit dans l’unique village Puerto Piramides, lieu logique quand on vient en cette période de l’année à Valdes. Mais ça je vous l’explique plus tard.
Valdes, avec ses deux golfes immenses, ce sont des paysages magnifiques, personne sinon vous, et éventuellement le guide. Salines, lagunes, falaises, plages (d’accord, l’eau est froide !), tout ça rien que pour vous.
Et au gré des balades, on croise des maras, toutes sortes d’oiseaux ou le sympathique peludo, petit tatou local pas très farouche.
Et bien entendu, les animaux marins, éléphants de mer (les jeunes, les adultes n’arrivent qu’en septembre) et otaries.
Quant à la raison d’un voyage en hiver, c’est pour la prochaine chronique.
A 250 km de Puerto Piramides, un endroit magique : Bahia Bustamante si jamais… pas donné non plus mais unique.
A Buenos Aires, l’incontournable librairie dans l’ancien théâtre…
On nous a parlé de Bustamante. Ça n’a pas l’air donné. J’ai aussi envie de pousser une fois jusqu’à Puerto Deseado.
Mais le réveil avec l’autruche qui te regarde par la fenêtre… c’est juste inoubliable…
Je crois que j’essaierai un jour.
Hâte de voir aussi les prochaines chroniques !
Ça vient.
Comme toujours lors de tes voyages de très belles photos et une grande envie de retourner faire un tour en Argentine
Merci, suite dans quelques jours.
superbe ! et mon héroïne en cadeau (Madalda) merci !
De rien.